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Jourdan, J., Ballouard, J.-M., Gagno, S., Fertard, B., & Caron, S. , Health assessment of free-rangingtestudo hermanni hermanni in continental france. Unpublished paper presented at Atelier international sur la gestion et la restauration des populations et habitats de la Tortue d’Hermann / International workshop on the management and restoration of Hermann’s tortoise populations and habitats.
Added by: Admin (06 Jan 2014 18:24:42 UTC) |
Resource type: Conference Paper BibTeX citation key: Jourdan2013 View all bibliographic details ![]() |
Categories: General Keywords: Habitat - habitat, Schildkröten - turtles + tortoises, Südwesteuropa - South-Western Europa, Testudinidae, Testudo hermanni, Veterinärmedizin - veterinary medicine Creators: Ballouard, Caron, Fertard, Gagno, Jourdan Collection: Atelier international sur la gestion et la restauration des populations et habitats de la Tortue d’Hermann / International workshop on the management and restoration of Hermann’s tortoise populations and habitats |
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Abstract |
Testudo hermanni Testudinidae La mise en oeuvre de mesures conservatoires d’une espèce menacée, comme par exemple des translocations, passe inéluctablement par la connaissance et le contrôle des maladies et pathogènes susceptibles de lui porter atteinte. La Tortue d’Hermann est particulièrement affecté par 1) l’herpèsvirus, responsable d’affections respiratoires à l’issue souvent létale ; 2) les mycoplasmes, organisme unicellulaire proche des bactéries pouvant être à la base de graves problèmes pathologiques. Ces agents sont hautement contagieux et fréquemment retrouvés en captivité. Une évaluation de l’état sanitaire des populations sauvages française a débuté en 2012 sur l’ensemble de l’aire de répartition continentale. Au total, 347 tortues ont été échantillonnées sur 14 sites différents. Des examens physiques, des prises de sang, ainsi que des prélèvements nasaux et buccaux ont été réalisées sur chaque individu. L’herpèsvirus a été détecté chez 3,3% des tortues via la technique de Polymerase Chain Reaction (PCR) qui détecte toutes les formes d’herpèsvirus. Par contre, une seule tortue s’est avérée « suspecte » vis-à-vis de la recherche d’anticorps spécifiques des génotypes TeHV-1 et TeHV-3 (Testudinidés Herpèsvirus) via la technique de séroneutralisation. Les mycoplasmes ont été décelés chez 8 % des individus par PCR. Cette étude met en évidence pour la première fois la présence d’agents pathogènes très dangereux (herpèsvirus) dans les populations sauvages du Sud de la France et confirme la présence d’un autre (Mycoplasma agassizii). Elle souligne également la menace que représentent les relâchés non autorisés dans la nature d’individus captifs potentiellement porteurs de maladies.
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